La Reine Alice

Mardi 19 avril 2011 à 20:50

Tu la vois, cette lumière au bout du tunnel ?
Ben c'est le train qu'on va se prendre dans la gueule.


Ami étudiant, Khâgneux, MP, PC, BCPST, PTSI,
CAPES, Agrèg ou autre...

Si demain tu vas planter ton concours,
Tape dans tes mains.




(clap clap clap)

 

Allez, maintenant, on adopte Socrate : Je sais que je ne sais rien.

Publié par Madmoizaile-Alice

La maison du miroir

Dimanche 10 avril 2011 à 12:24

http://beyond.the.looking-glass.cowblog.fr/images/croix4copie2.jpg








[ Soon ... ]

Publié par Madmoizaile-Alice

La maison du miroir

Mercredi 6 avril 2011 à 14:45

http://fc09.deviantart.net/fs71/f/2010/282/2/7/smile_emo_kid_by_maddie23-d30d888.jpg

Je pense à toi

Publié par ciel-phantomhive

Mercredi 23 mars 2011 à 22:28

Euh..Excuse-moi, tu peux t'écarter ? Tu marches sur mon myocarde, là....



Chez Marivaux, les héros se déguisent pour faire avouer leur identité à ceux qu'ils aiment. Ils se déguisent et déguisent leurs sentiments. Ils jouent, se cherchent, se testent. Parfois, pour pimenter l'action, cette mascarade se retourne contre eux. Ils souffrent de ces sentiments qu'ils ont voulu faire exprimer aux autres, et en fin de compte, ils s'y trouvent eux-même confrontés.

Ce sont les risques quand on joue aux jeux de l'amour et du hasard...

Mais le théâtre de Marivaux tient de la comédie légère, rebondissante, et les histoires d'amour se finissent bien.

Dans la réalité, ce n'est pas comme ça. C'est plus un mélange entre Racine et les Rita Mitsouko.

Et là, ça tient plutôt de Titus et Bérénice que de Sylvia et Dorante.

Les histoires d'amour finissent mal, en général.

Génial.

http://beyond.the.looking-glass.cowblog.fr/images/coeur.jpg





Publié par Madmoizaile-Alice

Dimanche 20 mars 2011 à 19:09

J'avançais, vacillante, sur la corde raide, essayant de ne pas trop penser au gouffre qui s'ouvrait béant sous mes pas. Et soudain tu as surgi face à moi, instable toi aussi. Re-découverte un peu au hasard, et le début d'un jeu juste comme ça, pour le fun. De toutes façons c'était pour déconner un peu. Et petit à petit, finalement, "et si...?". Pourquoi pas ? Alors on a essayé de s'accorder. Les mains jointes, trouver un équilibre, même un simulacre. A deux.
Sur le fond, ce n'était pas une mauvaise idée. Reste la forme. Et c'est bien le problème. Comment compenser la distance quand nos rythmes de vie ne se synchronisent pas ? Faire semblant. S'inventer une vie commune dans un univers parallèle, et y croire tellement que le retour à la réalité est d'une douleur insoutenable.
On a été trop vite, sans faire les choses dans l'ordre. Et on a surtout oublié l'essentiel : s'attacher l'un à l'autre en vrai, se voir, se toucher, se sentir, s'embrasser... Pas simplement en se l'imaginant.
Oui, on a fini par y arriver, l'espace d'une seconde. Cette semaine passée ensemble nous aura fait croire que cela durerait, qu'enfin, on pourrait se construire un nous.
Les vacances achevées, le doute est revenu, s'immisçant en nous et détruisant tout.

Voilà pourquoi ce matin, malgré ces rires complices, nos étreintes intenses qui résonnaient déjà comme un adieu, et cette avalanche de baisers,
je n'ai pu te retenir.

Etreintes brisées, rires envolés, pluie de larmes. 

J'ai lâché ta main, ou tu as lâché la mienne.
Equilibre perdu. Maintenant je tombe.
J'attends le filet qui me fera rebondir, et atterrir tant bien que mal, avec le plus de douceur possible.




Why does my heart feel so bad ?
'Cause, I think I love you.

Publié par Madmoizaile-Alice

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