Cet indescriptible bourdonnement. Vertige soudain et nausées.
Mon ciel s'assombrit comme si la nuit tombait violemment, comme si les ténèbres pénétraient chaque partie, chaque cellule de ce corps déshumanisé.
Je les sens monter peu à peu, ma vue se trouble, et les voilà, elles sont là, petites perles amères et salées, suspendues au bord des cils.
Le temps s'arrête, tout ce fige. Les voici vacillantes
Attention, tu marches sur mon myocarde là. Oui désolée, il traine, je te l'avais donné.
Tu l'as jeté
Now he's gone, I don't know why
And till this day, sometimes I cry
He didn't even say goodbye
He didn't take the time to lie
La Reine Alice
Vendredi 18 février 2011 à 21:51
Publié par Madmoizaile-Alice
Dimanche 13 février 2011 à 19:05
Désolée de ne pas être parfaite.
Mais fallait voir ça avant.
Publié par Madmoizaile-Alice
Jeudi 10 février 2011 à 18:47
Thursday 10th February.
J'ai l'impression que tu me vois comme quelqu'un de passif, qui se complait dans sa médiocrité, qui vient pleurer à la dernière minute, quand rien ne va plus, mais qui de toutes façons ne se bougera pas pour que ça change.
Non, c'est pas une impression que j'ai, puisque tu le dis. Tu dis que je suis une branleuse, que je ne me donne pas les moyens d'y arriver.
Je sais bien que parfois c'est ce à quoi je ressemble. Pourtant, pourtant... Si tu savais comme je fais des efforts.
Pas toujours c'est vrai, et pas forcément de manière régulière.
Mais ce n'est pas toujours facile, tu sais. C'est si lourd parfois, que je n'y arrive pas. Je n'y arrive plus. Je ne peux pas porter ça toute seule. Je commence à me lasser depuis tout ce temps, je voudrais me libérer, voir autre chose...
Je pensais que tu l'avais compris, que tu le savais. Ou au moins que tu l'avais deviné. Tu aurais pu.. Enfin, tu aurais dû. Non ? En plus, t'avais plein d'indices. Tu en as toujours d'ailleurs. D'après toi, pourquoi même jour, même heure, papier à musique, pourquoi rituel hebdomadaire, entrevues sur canapé, mouchoir et à la semaine prochaine ?
J'essaye d'être forte, de me battre jusqu'au bout. Après tout, c'est bientôt fini... Parfois je me sens seule, et je baisse les bras... Mais jamais bien longtemps. Je suis loin d'être parfaite. Je sais que je suis souvent déconnectée de la réalité, que je préfèrerais fuir loin de tout, mais pourtant, je suis toujours là et quand il faut y aller, j'y vais. A croire que tu ne le vois pas.
Alors quand je t'entends me dire ça, quand je sens le poids de ton regard, que je vois comme un jugement, une condamnation dans ce regard, je crois que je te déçois et j'ai mal. J'ai si mal..
J'ai l'impression que tu me vois comme quelqu'un de passif, qui se complait dans sa médiocrité, qui vient pleurer à la dernière minute, quand rien ne va plus, mais qui de toutes façons ne se bougera pas pour que ça change.
Non, c'est pas une impression que j'ai, puisque tu le dis. Tu dis que je suis une branleuse, que je ne me donne pas les moyens d'y arriver.
Je sais bien que parfois c'est ce à quoi je ressemble. Pourtant, pourtant... Si tu savais comme je fais des efforts.
Pas toujours c'est vrai, et pas forcément de manière régulière.
Mais ce n'est pas toujours facile, tu sais. C'est si lourd parfois, que je n'y arrive pas. Je n'y arrive plus. Je ne peux pas porter ça toute seule. Je commence à me lasser depuis tout ce temps, je voudrais me libérer, voir autre chose...
Je pensais que tu l'avais compris, que tu le savais. Ou au moins que tu l'avais deviné. Tu aurais pu.. Enfin, tu aurais dû. Non ? En plus, t'avais plein d'indices. Tu en as toujours d'ailleurs. D'après toi, pourquoi même jour, même heure, papier à musique, pourquoi rituel hebdomadaire, entrevues sur canapé, mouchoir et à la semaine prochaine ?
J'essaye d'être forte, de me battre jusqu'au bout. Après tout, c'est bientôt fini... Parfois je me sens seule, et je baisse les bras... Mais jamais bien longtemps. Je suis loin d'être parfaite. Je sais que je suis souvent déconnectée de la réalité, que je préfèrerais fuir loin de tout, mais pourtant, je suis toujours là et quand il faut y aller, j'y vais. A croire que tu ne le vois pas.
Alors quand je t'entends me dire ça, quand je sens le poids de ton regard, que je vois comme un jugement, une condamnation dans ce regard, je crois que je te déçois et j'ai mal. J'ai si mal..
Pourquoi, pourquoi, pourquoi... ?
Tu sais, j'aimerais juste que tu sois fier de moi, Papa...
Samedi 29 janvier 2011 à 18:53
Plus grand chose de stupéfiant...
J'aimerais retrouver le temps d'écrire,
Rêver et Vivre ...
Rêver et Vivre ...
Le royaume est un peu à l'abandon.
La Reine s'en excuse, mais en ce moment, elle se bat.
Elle se bat pour son avenir, elle se bat pour les autres, contre les autres et contre elle-même.
La Reine essaie aussi de trouver un roi... Et avec tout ça, ce n'est pas gagné.
Toutefois, elle fait de son mieux, alors...
A très vite !
La Reine s'en excuse, mais en ce moment, elle se bat.
Elle se bat pour son avenir, elle se bat pour les autres, contre les autres et contre elle-même.
La Reine essaie aussi de trouver un roi... Et avec tout ça, ce n'est pas gagné.
Toutefois, elle fait de son mieux, alors...
A très vite !